Les Québécois pourront profiter des activités hivernales 

TOURISME. En accord avec la Santé publique, la ministre du Tourisme, Caroline Proulx, annonce que les Québécois pourront profiter des activités hivernales offertes dans les centres de glisse et les centres de plein air cet hiver. Les motoneigistes auront pour leur part accès aux relais et aux refuges faisant partie du grand réseau de sentiers de motoneige sur le territoire.

Ainsi, les centres de glisse pourront accueillir la clientèle en respectant des mesures sanitaires, telles que le contrôle de l’achalandage, la mise en place de zones distinctes pour la prise et la remise des chambres à air ainsi que leur nettoyage et leur désinfection réguliers.

Des mesures naturellement

Pour leur part, les centres de plein air offrant des activités telles que le ski de fond, la raquette et la randonnée hivernale pourront eux aussi opérer en mettant en place des mesures sanitaires. Notamment, les refuges de ski de fond pourront être accessibles, peu importe le palier d’alerte de la région, mais avec un contrôle de l’achalandage et une fréquence de nettoyage et de désinfection augmentée et ajustée en fonction de la fréquentation. Ces orientations seront les mêmes pour les refuges de motoneige.

En plus des mesures du Plan de sécurité sanitaire de l’industrie touristique qui comprend des règles de base applicables à l’ensemble du secteur touristique, les centres de glisse, les centres de plein air et les relais de motoneige devront mettre en place des mesures sanitaires élaborées pour les stations de ski (accessibilité au chalet et aux services selon les paliers d’alerte des régions, port du couvre-visage de type cache-cou lors de la pratique de l’activité extérieure, distanciation dans les files d’attente, etc.) et celles pour le tourisme d’aventure et les parcs régionaux.

En zones rouges, il pourra être possible de manger son lunch à l’intérieur d’un refuge, selon les règles en vigueur sur le site. Notons enfin que, s’ils ne sont pas interdits, les déplacements interrégionaux demeurent non recommandés.