Maxime Landry plonge dans ses racines country

MUSIQUE. Avec son quatrième album, 3e Rue Sud, Maxime Landry plonge dans ses racines country, lui qui y baigne depuis sa tendre enfance.

Le Beauceron originaire de Saint-Gédéon est très fier de son bébé puisqu’il y a écrit toutes les chansons originales. « Mes racines sont vraiment country. C’est ce qu’on écoutait chez nous, Garth Brooks, Marcel Martel et plusieurs autres. En plus, ça fait deux ans que je suis plongé dans le country en participant aux tournées de Paul Daraîche et Chapeau Willie », nous disait-il en entrevue.

L’album de Maxime Landry compte 12 pièces dont dix sont originales. Parmi, celles-ci, on peut entendre le Beauceron en duo avec Laurence Jalbert (D’un soir d’Orage), Paul Daraîche (Prière d’un hors la loi) et Renée Martel (Si tu le croises un jour). Il a aussi repris et rafraîchi la pièce Un coin du ciel de Marcel Martel qu’il interprète avec ses trois complices et que Quelque chose de Tennessee, écrite par Michel Berger et popularisé par Johnny Hallyday. « Au cours des deux dernières années, j’ai dû composer plus d’une cinquantaine de chansons. J’étais vraiment inspiré et j’ai du matériel pour faire deux ou trois autres albums ».

Le nouvel opus du Beauceron est en vente depuis hier dans les magasins ainsi que sur iTunes.

Bien sûr, ce nouvel album permettra au Beauceron de repartir en tournée, ce printemps, souhaite-t-il. Comme ce fut le cas pour ses albums précédents, la tournée devrait débuter en Beauce. « Ce qui me manque le plus actuellement, c’est du temps. Je souhaite de tout mon cœur entreprendre ma tournée ce printemps car pour l’été, j’ai un autre projet de tournée avec Laurence Jalbert », assure-t-il.

Un livre

Décidément, Maxime Landry a la plume facile par les temps qui courent car en plus des nombreuses chansons qu’il a écrites, il a complété un livre qui sortira en février chez Libre Expression. Le livre raconte l’histoire d’un homme qui s’est enlevé la vie mais qui publie un journal un an plus tard.

« Bien que ça puisse le laisser transparaître, ce n’est pas une autobiographie. En fait, j’ai commencé à écrire une chanson mais comme j’avais beaucoup de choses à dire, je les ai fait lire à ma mère qui m’a dit que je pourrais en faire un livre. Ce projet m’a fait énormément de bien et j’espère que ça va aussi faire du bien à d’autres personnes une fois qu’il sera publié », a-t-il conclu.

Par Simon Busque, L’Éclaireur-Progrès