Antoine Carrier lance le sceau
Empreint d’une foi profonde dans le Seigneur qui s’est révélé à lui dans la nuit du 21 avril 1989, ce qui a complètement changé sa vie. «Je suis tombé en amour avec Lui, cette nuit-là. Il m’a tout donné et je me suis réveillé complètement transformé», confie Antoine Carrier de Saint-Léon-de-Standon, qui a lancé, dimanche dernier, à la Bibliothèque L’Étincelle de l’endroit, son deuxième ouvrage de spiritualité.
Intitulée Le Sceau, sa plus récente création littéraire dont le contenu lui est, à ses dires, directement inspiré par le Seigneur témoigne comme le précédent titré «Et si le Seigneur faisait route avec moi», de sa foi incommensurable dans Celui dont il dit qu’il lui inspire ses écrits tout autant que ses gestes. «J’écris d’un seul jet ce que m’inspire le Seigneur» poursuit Antoine Carrier, qui signale de plus que ce qu’il dit ou écrit, il le vit.
La création du la Fondation Ermitage Jardin Lumière sur sa propriété du rang Sainte-Marie à Saint-Léon-de-Standon ainsi que de celle de la Fondation Ermitage Jardin Lumière en février dernier, à qui il versera les profits tirés de la publication de son deuxième ouvrage, comme il l’a d’ailleurs fait avec ses propres deniers sans utiliser le créneau d’une fondation pour l’aménagement et la construction, en 2003, de trois ermitages témoignent d’ailleurs de l’engagement et de l’humanité de cet écrivain inspiré dont le premier ouvrage est pratiquement complètement écoulé. C’est ce qu’il confiait aux personnes présentes lors de son lancement en indiquant qu’il lui restait moins d’une vingtaine des 500 copies de «Et si le Seigneur faisait route avec moi» dont il avait la responsabilité de la vente.
Un recueil de plus d’une quarantaine de réflexions, Le Sceau a quant à lui été tiré à 2 000 exemplaires dont celui qui par modestie ou humilité refuse que quelque photo de lui soit publiée se chargera à nouveau de la vente de 500 copies de ce livre tout comme il l’avait fait avec son précédent ouvrage qui avait été tiré à 2 500 exemplaires. Les revenus tirés de ces ventes contribueront à alimenter la construction de quatre autres ermitages et éventuellement d’un centre de services pour la clientèle desdits ermitages, dont les plans de cet immeuble sont déjà couchés sur papier, confie Antoine Carrier qui a la conviction profonde de voir ces bâtiments érigés de son vivant lui qui a déjà atteint l’âge respectable de 77 ans.